Chapon noir cou nu

Chapon (poulet castré et engraissé) noir de race cou-nu, nourri au maïs et au lait frais, volaille festive élevée de façon artisanale et traditionnelle par Volailes Renault dans la région rennaise. Alimenté avec les céréales de la ferme.
Direct producteurOrigine FranceProduit frais
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Description

Chapon noir cou nu, effilé (3,4 kg) ou prêt à cuire (2,9 kg)

Volailles Renault

Le chapon est un coq castré à huit semaines et engraissé comme une poularde, ce qui lui donne un beau volume de chair et une grande finesse. Celui des Volailles Renault est de variété cou-nu noir, choisie pour ses qualités gustatives. Il est entièrement nourri aux céréales de la ferme, et affiné au maïs et au lait frais pendant quelques semaines avant abattage. Ce long processus de six mois produit une volaille savoureuse à la chair blanche, tendre et persillée. Le chapon des Volailles Renault pèse entre 2,5 et 5 kg, avec une moyenne de 3,5 kg, et peut nourrir de 6 à 10 personnes selon son poids.

Accord mets et vins : Ce produit s’accompagne merveilleusement bien avec le vin suivant :

Informations complémentaires

Poids 3000 g
Effilé ou Prêt à Cuire

Effilé 3,4 kg, Prêt à cuire 2,9 kg

Date limite de consommation

6 jours après expédition, 10 jours après expédition

Type de volaille

Chapons

2 avis pour Chapon noir cou nu

  1. JEAN

    Très belle bête mais 3,5 kgs au lieu de 4 kgs et quand vous avez enlevé les pattes le cou et la tête il vous reste 3 kgs.

  2. chrisfied

    Très décevant! peu d’arômes, chair sans saveur et beaucoup de gras. Nous étions 3 convives et sommes restés sur notre faim. Nous avions été habitués à beaucoup mieux!

    • Cul1naries

      Bonjour, nous ne sommes pas habitués à ce genre de commentaires pour ce producteur, mais nous lui faisons remonter cette information. Merci de nous avoir fait ce retour.

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Volailles Renault

En 1976, Paul et Marie-Noëlle Renault s’installent à la ferme de L’Entillière, à l’ouest de Rennes, sur l’ancienne exploitation laitière des parents de Paul : dix-huit hectares où s’ébattent dix sept vaches laitières et des pigeons que Marie-Noëlle vend au marché des Lices, à Rennes. En 1988, Paul retrouve l’histoire de la coucou de Rennes, volaille emblématique du pays rennais depuis un siècle, menacée de disparition. À partir de « six poules et un coq », il décide de remettre la coucou de Rennes dans le circuit marchand et n’hésite pas à envoyer ses volailles aux plus grands chefs français afin de les soumettre à un test à l’aveugle en leur envoyant ses volailles sans étiquette, juste accompagnées d’un message : « Dites-moi ce que c’est. » « C’est le poulet de ma grand-mère ! », répondent à l’unanimité Olivier Roellinger, Jacques Thorel, Pierre Gagnaire, et plus tard Alain Passard, Christophe Aribert, Dominique Crenn… La liste n’est pas close. La race menacée devient volaille de luxe.

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