Poularde Prête-à-Cuire (1,9 kg)

21.58 € / kg

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Poularde (jeune poule engraissée) de race cou-nu noir, élevée six mois, nourrie sans OGM, vendue prête à cuire, parfaite pour être rôtie au four.
Origine FranceProduit frais
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Description

Poularde Prête-à-Cuire (1,9 kg)

Volailles Renault

Si vous avez une prédilection pour la cuisson du poulet au four, cette poularde tendre et savoureuse est parfaitement adaptée à cet usage. Nous vous donnons cette précision parce que nous sommes adeptes du principe gastronomique « savoir à quelle volaille on a affaire » : à qualité égale, toutes les cuissons ne conviennent pas forcément à toutes les volailles, et certains volatiles sont meilleurs en cocotte que rôtis, ou meilleurs rôtis que pochés, etc. Cela est dû à la fermeté de la carcasse et à la texture de la chair, qui varient selon l’âge et les conditions d’élevage. La poularde est une volaille de fête, un super-poulet du dimanche de tradition française. C’est, techniquement, une jeune poule qui n’a pas encore pondu et qui offre une chair délicate, tendre et persillée en raison de son engraissement au lait de vache frais et au posson (mélange de céréales broyées) en fin d’élevage (affinage). Issue d’agriculture paysanne et durable, alimentée sans OGM, poularde de la maison Renault est élevée six mois, affinage compris, et a été nourrie sans aucun OGM. Elle est prête à cuire. Son poids de 1,8 à 2 kg la prédispose à une cuisson rôtie, en cocotte ou pochée, entre 1 h 30 et 2 heures selon la chaleur du four. Par exemple : 1 h 30 au four à 200 °C avec arrosage fréquent (toutes les 10 minutes) ou à la broche, la volaille étant bien bridée. Repos de 30 minutes hors du four avant découpage. Ou alors : 2 heures au four à 160-170 °C, arrosage un peu moins fréquent, repos de 20 minutes avant découpage. Nous avons envie de conseiller un rouge frais et léger avec cette volaille d’exception : par exemple un rouge d’Alsace du domaine Einhart (choisissez Pinot noir ou L’Intrépide selon disponibilité). Autre solution, tout aussi excellente, un gamay du Beaujolais de notre Nicolas Chemarin national. Le choix est large, du beaujolais-villages aux Vignes de Jeannot, en passant par La Haute-Ronze ou P’tit Grobis. Tant qu’il y a du bojo…
 
Pour en savoir plus
La maison Renault est une aventure qui remonte à 1976, quand Paul et Marie-Noëlle Renault reprennent la ferme familiale de L’Entillière, en pays rennais. Cette exploitation sera le cadre de la renaissance d’une race de poule de haute qualité, la coucou de Rennes. Initialement, Paul ne dispose que de « six poules et un coq », la race étant menacée de disparition. Il la remettra dans le circuit marchand en envoyant d’abord ses volailles à de grands chefs français, pour test à l’aveugle. Subjugués, les cuisiniers veulent en savoir davantage ; ainsi débute le nouvel essor de la coucou de Rennes, au plumage gris moucheté de blanc, volaille robuste et rustique à la chair savoureuse. Les Renault ne s’en tiendront pas là : leur ferme devient, en même temps qu’un élevage volailler commercialisant sa production en vente directe (notamment au marché des Lices à Rennes), un véritable conservatoire des volailles rares et gastronomiques : colverts et canards mi-sauvages, pigeons, cailles, pintades, oies de Brière, pintades, ainsi que dindes, chapons, poulardes et poulets noirs cou-nu. Les Renault, avec désormais leur fils Olivier à la tête de l’exploitation, aiment associer à des pratiques agricoles paysannes (pas d’OGM, de farines animales ou de sous-produit de céréales, entretien de la biodiversité, élevage en plein air) des modes d’élevage à l’ancienne visant à obtenir les meilleurs volatiles possibles.

Informations complémentaires

Poids 1900 g
Poids

1,9 kg

Type de volaille

Poulardes

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Volailles Renault

En 1976, Paul et Marie-Noëlle Renault s’installent à la ferme de L’Entillière, à l’ouest de Rennes, sur l’ancienne exploitation laitière des parents de Paul : dix-huit hectares où s’ébattent dix sept vaches laitières et des pigeons que Marie-Noëlle vend au marché des Lices, à Rennes. En 1988, Paul retrouve l’histoire de la coucou de Rennes, volaille emblématique du pays rennais depuis un siècle, menacée de disparition. À partir de « six poules et un coq », il décide de remettre la coucou de Rennes dans le circuit marchand et n’hésite pas à envoyer ses volailles aux plus grands chefs français afin de les soumettre à un test à l’aveugle en leur envoyant ses volailles sans étiquette, juste accompagnées d’un message : « Dites-moi ce que c’est. » « C’est le poulet de ma grand-mère ! », répondent à l’unanimité Olivier Roellinger, Jacques Thorel, Pierre Gagnaire, et plus tard Alain Passard, Christophe Aribert, Dominique Crenn… La liste n’est pas close. La race menacée devient volaille de luxe.

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