Description
Rillette de sanglier au Gin ADN et Baies de genièvres (150 g)
Venandi
Ce qui est intéressant avec les terrines et les rillettes, c’est qu’elles se prêtent à une multitude de recettes et qu’un peu d’alcool ne leur fait pas peur. Celles-ci, en plus de leurs 75 % de viande de sanglier sauvage 100 % français (ce qui représente une forte proportion de gibier par rapport aux recettes courantes) et du restant en viande de porc fermier (avec un peu de graisse de canard pour optimiser l’onctuosité et le fondant), sont relevées au gin ADN, un spiritueux 100 % lyonnais, biologique et écoresponsable, distillation de dix-neuf arômes botaniques différents. Ses notes herbacées, intenses et végétales, légèrement mentholées, donnent à ces rillettes beaucoup de caractère, et la baie de genièvre vient renforcer la vivacité de l’ensemble. Le sanglier est issu de forêts bourguignonnes (Côte-d’Or) et n’a mangé que des racines, des châtaignes, des glands et d’autres végétaux. Sa saveur réputée puissante est due aux préparations d’autrefois, longuement faisandées et marinées, mais elle se révèle beaucoup plus douce si elle est traitée plus simplement. Nous conseillons de garder cette verrine au réfrigérateur une fois ouverte, mais de ne pas la réfrigérer avant la première ouverture afin de préserver le fondant. Avec ce joli cocktail aromatique marqué par la fraîcheur, nous conseillons des toasts grillés bien croustillants, une bonne baguette et un petit shot de gin Blurry Moon des distilleries Gimet et Awen Nature en partenariat. Mais comme on peut toujours préférer un coup de rouge, un vin bien poivré comme Champ Levat de Jean-Yves Péron conviendra parfaitement.
Pour en savoir plus
Venandi est le projet de François Palluis, Lyonnais, chasseur depuis l’enfance et amateur de bonne cuisine. Constatant que le gibier et sa cuisine pâtissent d’une image tout aussi détériorée et mal informée que celle de la chasse, il entreprend de créer une entreprise autour de la mise en valeur du gibier 100 % français, travaillé sous forme de charcuteries et de salaisons artisanales. La matière première est collectée auprès de chasseurs de Côte-d’Or, eux-mêmes formés à la sélection du gibier, et passe par un atelier de traitement du gibier où elle est analysée par des vétérinaires, puis découpée et conditionnée. Quand elle parvient à l’atelier lyonnais de Venandi, elle est transformée ou vendue en frais. Les terrines sont préparées de manière artisanale selon les recettes de François : une majorité de viande de gibier (plus de 50 %), des assaisonnements savants et équilibrés, pour un résultat sain et savoureux. La viande de gibier, par définition sauvage, est peu grasse et excellente pour la santé si elle est correctement préparée.
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