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Volailles Renault

En 1976, Paul et Marie-Noëlle Renault s’installent à la ferme de L’Entillière, à l’ouest de Rennes, sur l’ancienne exploitation laitière des parents de Paul : dix-huit hectares où s’ébattent dix sept vaches laitières et des pigeons que Marie-Noëlle vend au marché des Lices, à Rennes. En 1988, Paul retrouve l’histoire de la coucou de Rennes, volaille emblématique du pays rennais depuis un siècle, menacée de disparition. À partir de « six poules et un coq », il décide de remettre la coucou de Rennes dans le circuit marchand et n’hésite pas à envoyer ses volailles aux plus grands chefs français afin de les soumettre à un test à l’aveugle en leur envoyant ses volailles sans étiquette, juste accompagnées d’un message : « Dites-moi ce que c’est. » « C’est le poulet de ma grand-mère ! », répondent à l’unanimité Olivier Roellinger, Jacques Thorel, Pierre Gagnaire, et plus tard Alain Passard, Christophe Aribert, Dominique Crenn… La liste n’est pas close. La race menacée devient volaille de luxe.
En 1976, Paul et Marie-Noëlle Renault s’installent à la ferme de L’Entillière, à l’ouest de Rennes, sur l’ancienne exploitation laitière des parents de Paul.
Dix-huit hectares où s’ébattent dix sept vaches laitières et des pigeons que Marie-Noëlle vend au marché des Lices, à Rennes. En 1988, Paul retrouve l’histoire de la coucou de Rennes, volaille emblématique du pays rennais depuis un siècle, menacée de disparition. À partir de « six poules et un coq », il décide de remettre la coucou de Rennes dans le circuit marchand et n’hésite pas à envoyer ses volailles aux plus grands chefs français afin de les soumettre à un test à l’aveugle en leur envoyant ses volailles sans étiquette, juste accompagnées d’un message : « Dites-moi ce que c’est. » « C’est le poulet de ma grand-mère ! », répondent à l’unanimité Olivier Roellinger, Jacques Thorel, Pierre Gagnaire, et plus tard Alain Passard, Christophe Aribert, Dominique Crenn… La liste n’est pas close. La race menacée devient volaille de luxe. Dotée d’un superbe plumage gris moucheté de blanc, la coucou de Rennes est robuste, rustique et passe aisément par-dessus les clôtures. C’est une athlète à la chair ferme et savoureuse. Elle atteint 140 à 150 jours de maturité avant d’être nourrie au petit-lait pendant quelques semaines avant abattage. Depuis, d’autres espèces ont rejoint la coucou : poules noires cou-nu, canes mi-sauvages, colverts, pigeonneaux, cailles, pintades, poulardes, chapons, oies de Brière et dinde évoluent sur les cinq mille mètres carrés qui leurs sont dédiés. Dès l’origine, les Renault respectent la terre et l’écosystème en s’inscrivant dans une démarche non productiviste. Ils pratiquent une agriculture paysanne, sans OGM, farine animale ou sous-produit de céréales, et entretiennent une riche biodiversité sur les trente hectares de leur ferme : blé, triticale, orge, pois fourrager, féverole, maïs et luzerne y sont cultivés pour nourrir leurs volailles élevées en plein air. Aujourd’hui, leur fils Olivier reprend le flambeau, en veillant à perpétuer la démarche, la philosophie et le savoir-faire qui font depuis des décennies la réputation des Volailles Renault. Races : coucou de Rennes, poule noire cou-nu, cane, colvert, pigeonneau, caille, oie de Brière, dinde, chapon, poularde, pintade Élevage : plein air et polyculture Alimentation : blé, triticale, orge, pois fourrager, féverole, maïs et luzerne, issus des récoltes du domaine
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