Description
Huîtres de Camargue n°3 – La Perle de Camargue (2 douzaine)
Camargue Coquillages
Ces huîtres naturelles de calibre 3 (de 10 à 12 pièces au kilo) représentent un calibre moyen. Conditionnées en deux douzaines, elles sont prévues pour deux à quatre personnes selon leur appétit ou pour réaliser un plat pour le même nombre de convives. Nées et élevées en mer, diploïdes (non génétiquement modifiées), elles proviennent des champs ostréicoles de Camargue Coquillages (producteur membre du Collège culinaire de France), à l’embouchure du Rhône. Elles sont élevées de façon artisanale dans le plus grand respect des écosystèmes marins, des saisons et du bien-être animal.
Huîtres sur cordes, à la camarguaise
Ces huîtres creuses (Crassostrea gigas) passent directement de la mer à votre table, sans séjour en labo, sans antibiotiques ni autre additif : le merroir des Bouches-du-Rhône dans toute sa pureté. Selon la méthode méditerranéenne, elles sont élevées sur des cordes suspendues à des structures métalliques fixées en pleine mer. On les consomme généralement de novembre à avril, mais ceux qui les aiment grasses et charnues peuvent les apprécier jusqu’à la fin de l’été.
Dégustation et accords
Croquant, charnu, petite note sucrée, forme ovale régulière et un goût unique lié au merroir : ce sont des huîtres d’eau saumâtre, ni trop salées ni trop iodées. Leur saveur élégante, caractéristique, évolue au fil des saisons. Le calibre 3 correspond à une huître moyenne, prête à être ouverte et gobée. Elle est donc aussi bonne cuite que crue, mais elles elle est faite pour le plateau de fruits de mer. Et nous voyons déjà nos bons vins blancs secs naturels frétiller de joie à l’idée de les accompagner : le muscadet tombe sous le sens avec le domaine De Vini et son beau choix de melon de bourgogne ou de folle blanche (gros-plant) sur terroir de gabbro. On peut aussi se laisser tenter par Rafling, un beau riesling de macération réalisé par Frédéric Cossard, ou, mieux encore, par son admirable Bain de Bulles Guy Wurtz, expression bulleuse et charmeuse du gewurztraminer qui va tellement bien avec les huîtres que c’en est presque un scandale. Ou, plus simplement mais en mode particulièrement festif, par un champagne de la Côte des Bar de M. Éric Collinet. Et, on vous le souffle en douce, Festejar blanc de Patrick Bouju aime aussi beaucoup les huîtres.
En savoir plus sur Camargue Coquillages
À Port-Saint-Louis-du-Rhône, Camargue Coquillages (soit Maria et son fils Daniel) protège le littoral des Bouches-du-Rhône, dont il élève et récolte les coquillages. Huîtres, moules, palourdes, murex, violets, couteaux… Tout cela est obtenu soit en élevage sur cordes (huîtres et moules), soit en pêche à pied sur divers sites de la côte proche de l’estuaire du Rhône. Un engagement écologique et gastronomique qui a fait de Camargue Coquillages un artisan membre du Collège culinaire de France.
Mode de production
La pêche à pied se fait dans le plus grand respect de l’écosystème et des saisons ; l’aquaculture est la seule de la région à avoir reçu la certification européenne « Aquaculture naturelle ». Les moules possèdent le label bio Eurofeuille. Camargue Coquillages s’engage au respect des normes de pêche durable.
Le goût unique d’un merroir
Un merroir sablonneux unique, peu connu, dispensateur de saveurs fines et fortes. Les huîtres « Perle de Camargue » sont incomparables, charnues, croquantes, raffinées. Non moins délicates, les moules de Camargue sont savoureuses et soyeuses, les palourdes peuvent se savourer crues ou cuites, et bien d’autres espèces — notamment les délicieux murex — sont à votre disposition.
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