Description
Boudin Galabart (200 g)
La ferme de Mayrinhac
Le boudin galabart (également orthographié « galabard » et diversement selon les régions) est une charcuterie cuite artisanale qui appartient à la tradition du Sud-Ouest français et notamment du Rouergue. C’est un boudin noir de large diamètre, embossé en boyau naturel et constellé de morceaux de viande et de tête de cochon. Il se mange généralement froid. Composé de sang, de viande de porc, d’épices et d’aromates comme tout autre boudin, il en diffère pourtant par sa texture ferme et gélatineuse (il contient beaucoup de couenne et de collagène naturel) qui permet de le découper en tranches. On peut le décrire comme étant à mi-chemin entre le fromage de tête et le boudin. Délicieux, hautement nutritif et plein de saveur, il peut prendre place sur une planche de charcuteries, en entrée, intégré à des salades, en casse-croûte ou dans des sandwich, ou en petits cubes à l’apéritif. Ce produit de charcuterie de la ferme de Mayrinhac est de fabrication artisanale, à base de porc élevé sur paille et nourri aux céréales de la ferme ; il est sans nitrite, colorant ou conservateur. Bien qu’il se consomme froid d’habitude, vous pouvez le couper en larges tranches et poêler celles-ci pour les rendre croustillantes — une bonne purée avec ça, c’est un délice. Accompagnez ce galabart chaud ou froid d’un vin rouge de notre cave ; laissez-nous vous orienter, accord de proximité oblige, vers les terroirs de Gaillac et le domaine viticole de Bois-Moisset (par exemple Marguerite, Rencontre, Mérens, Bonne Quille ou Vigne Vieille du Falgueyras).
Pour en savoir plus
Depuis des générations, la famille Méjane est à la tête de la ferme de Mayrinhac, à Rodelle, près d’Espalion (Aveyron). Une sorte de paradis rural, vert, vallonné, bocager, où Pierre Méjane a longtemps exercé l’activité de sélectionneur d’ovins de race lacaune, typique du Rouergue. Il y a une dizaine d’années, Pierre décide que l’exploitation se fera en autonomie et que la ferme transformera et vendra ses propres produits. Toute la production s’oriente désormais vers une autosuffisance où ovins et porcs sont entièrement nourris aux produits de la ferme (herbage, méteil) et conditionnés dans l’atelier de découpe et de préparation installé sur place. C’est ce qui s’appelle prendre les choses en main. Et cette prise en main, bien entendu, n’est pas sans principe : ne sont ajoutés aucun intrant chimique, aucun engrais à part le fumier des animaux, aucun pesticide (les cultures de céréales sont gérées en assolement quinquennal sur plusieurs parcelles), aucun nitrite ni conservateur dans les produits. La gamme est extrêmement diversifiée, couvrant tout le répertoire de la charcuterie traditionnelle aveyronnaise, du jambon blanc au saucisson sec en passant par le chou farci, les fritons ou le fricandeau. Même l’agneau y trouve sa place (essayez un peu la poitrine farcie…).
Le bouche-à-oreille a fait le reste, et la ferme de Mayrinhac a acquis une réputation inaltérable dans toute la région et sur les marchés de producteurs où elle est présente. Tout le monde plébiscite ses produits de charcuterie fine artisanale, leur saveur vraie et authentique, la justesse des préparations et l’excellence de ses cuissons.
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